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GRAND THÉÂTRE
Tarif 35€
1H30

Production : W spectacle

MUSIQUE
Si on sombre ce sera beau

Solann

On la présentait comme une jolie étoile filante ? Solann sera un astéroïde, étrange, inattendu, percutant, surprise qui reste une fois arrivée. Fleetwood Mac, Barbara, Sufjan Stevens, Hozier, Leonor Fini, Frida Kahlo : il y a une pointe de mystique au panthéon de ses idoles. Bercée par les figures ésotériques « ni vraiment méchantes, ni vraiment gentilles, juste puissantes » de la culture populaire arménienne, la jeune chanteuse se fait formidable conteuse de nos paradoxes. Avec une âme déjà
patinée par les remous de la vie et les contes arméniens dont elle s’est nourrie, longs cheveux noirs enserrant une silhouette gracile qui entre les scènes jamais ne vacille, points noirs sous grands yeux qui dardent, parachevant la profondeur des paroles, Solann revient avec Si on sombre ce sera beau, un album qui, faisant valser les apparences, expose l’intériorité de la jeune femme, confirmant sa place d’artiste en phase complète avec son époque.

La presse en parle

Solann chante la puissance féminine, réclame justice pour les malmenés et creuse, sur une pop aux accents mystiques, ses blessures intimes pour mieux les sublimer. Madame Figaro

Derrière la joliesse de façade et des inflexions sibyllines, elle (Solann) module avec un contrôle parfait de la dramaturgie poétique et des phrases ensorcelantes de magie noire. Comme une plongée au cœur de la terreur et de la beauté. Ici, le romanesque se superpose au cathartique, la voix ondule et vole à la manière d’une braise dans la nuit. Libération

Solann est une guerrière enveloppante, une dissidente magnétique. Entre le coton et le jaillissement à vif, la pureté diamantaire et les turbulences, les courbes envoûtantes et le lâcher-prise diffus, le contraste est follement chamboulant. France bleu 

L’indie folk, aux accents pops et poétiques qu’elle propose, fonctionne comme la potion dénichée dans un vieux grimoire de sorcières : un élixir mystérieux, aussi liquoreux qu’explosif, mais terriblement envoûtant. Ouest France 

Solann, la nouvelle “sorcière réconfortante” de la chanson française. Le Parisien 

Maléfique, Solann ? Ensorceleuse, pour l’instant, sur la foi de quelques chansons qui annoncent un futur radieux. Dans la lignée d’une Pomme ou d’une Zaho de Sagazan, elle chante avec ses tripes ses maux de jeune femme. Une mise à nu sincère et émouvante. Paris Match