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LIEU A DÉFINIR
Tarif A
6H (avec pauses)
À partir de 14 ans

Spectacle en déambulation, non adapté aux personnes à mobilité réduite. Des sièges pliants seront disponibles, dans la limite des stocks disponibles. 

Prévoir de l’eau, une tenue adéquate (vêtements et chaussures de marche) et des protections solaires (chapeau, lunettes, crème).  

Collation légère (eau, thé, café, fruits…) proposée à chaque pause. Panier gourmand pour la pause de fin de matinée à réserver au moment de l’achat du billet, selon disponibilités.  

 

Texte de Jean Giono
Mise en scène et direction artistique : Clara Hédouin 
Écriture et adaptation : Romain de Becdelièvre et Clara Hédouin 
En collaboration avec Éric Didry
Et la participation de Baptiste Morizot 

Avec : Jade Fortineau, Hatice Özer ou Suzanne de Baecque, Mickael Pinelli, Clara Mayer, Pierre Giafferi et Hector Manuel 

/ PRODUCTION : Manger le soleil, Collectif 49701  

/ COPRODUCTION : Festival Paris l’été, Le Sillon Scène conventionnée (Clermont-l’Hérault), TNP Villeurbanne, Communauté de communes du Haut-Lignon, Festival Les Tombées de la Nuit (Rennes), Le Channel Scène nationale de Calais, L’Estive Scène nationale de Foix et d’Ariège, Pronomade(s) en Haute-Garonne Centre national des arts de la rue et de l’espace public, Théâtre de Villefranche-sur-Saône. 

/ SOUTIEN : Drac Auvergne Rhône-Alpes 

Avec l’aide de l’Aria (Corse) 

THéâTRE
Clara Hédouin

Que ma joie demeure

Randonnée théâtrale

Après Les trois Mousquetaires, présentée en 2022 au parc de Sceaux, cette saison, Clara Hédouin nous invite à une randonnée-spectacle pour éprouver, à l’air libre, la langue de Giono. L’occasion de (re)découvrir la Vallée-aux-Loups, véritable joyau du patrimoine paysager du Grand-Paris, à la faveur d’une parenthèse bucolique. Avec Que ma joie demeure, Clara Hédouin et son complice Romain de Becdelièvre nous invitent à une traversée sensible en milieu naturel, alternance de tableaux théâtraux, moments de marche, et escale gourmande. On ne peut pas isoler l’homme. Il n’est pas isolé. Le visage de la terre est dans son cœur écrivait Jean Giono dans Le Chant du Monde (1935). Des mots écrits à l’aube d’une mécanisation de l’agriculture, qui résonnent aujourd’hui avec une certaine urgence, et nous convient à éprouver, poétiquement, notre inscription dans le paysage et nos rapports au vivant. 

Incarné par six interprètes débordant de vitalité, en osmose avec le texte […] le spectacle se distingue par l’énergie incoercible avec laquelle il fait circuler une langue semblant surgir du plus profond de la terre. Les Inrocks